Comment choisir son stage de remise à niveau des conducteurs ?

Mettre tout en œuvre pour améliorer sans cesse le comportement routier de vos collaborateurs, c’est limiter la sinistralité sur votre flotte et éviter d’avoir à dénoncer des salariés commettant des infractions. Encore faut-il identifier le prestataire le mieux à même d’assurer ce stage de remise à niveau. Conseils pour bien choisir !

Conseil N°1 : ne pas s’engager sans plan de formation

Les stages de remise à niveau s’organisent sur une durée limitée. Il est donc impensable de revoir l’intégralité de la formation des conducteurs en une à deux journées. N’accordez pas votre confiance à un centre de formation qui ne vous propose pas, en amont, la conception d’un plan de formation adapté au profil routier de vos collaborateurs. Le prestataire doit, après un entretien préalable, vous exposer les thématiques abordées et les moyens mis en œuvre pour assurer une remise à niveau pertinente de vos collaborateurs.

Conseil N°2 : comparer les moyens pédagogiques mobilisés pour le stage de remise à niveau

Le prestataire doit mobiliser des moyens (nombre de formateurs, salle de cours, nombre de véhicules, mise à disposition d’une piste selon les cas), adaptés au nombre de collaborateurs qui bénéficieront du stage. Lorsque vous comparez les offres, orientez-vous vers le prestataire favorisant le plus de mises en situation et de pratique pour chaque stagiaire. En équilibrant phases pratiques et théoriques, vous vous assurerez ainsi d’une implication totale des salariés.  

Conseil N°3 : vérifier l’éligibilité au CPF – Compte Personnel de Formation

Malgré vos vertueuses ambitions, les réalités budgétaires restent souvent prioritaires. Les stages de remise à niveau sont, selon le prestataire, éligibles au CPF (Compte Personnel de Formation). Pour mémoire, afin de bénéficier du CPF, la demande devra émaner de vos collaborateurs.